Déjouant l’absence d’un véritable système de formation en Suisse, ils sont nombreux à s’inscrire à l’Ecole des beaux-arts de Paris, attirés notamment par la promesse d’un cursus structuré, d’une place auprès de maîtres reconnus et de l’opportunité d’exercer la copie au Musée du Louvre. Leurs parcours sont retracés pour la première fois dans un ouvrage qui croise l’enquête archivistique et l’étude sociologique. Un essai critique, richement illustré, ainsi qu’un double répertoire révèlent le cosmopolitisme des acteurs culturels suisses à cette époque.
Une publication de l’Institut suisse pour l’étude de l’art (SIK-ISEA) et des Editions Slatkine.
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Communiqué de presse