Accès inédit à l’amitié épistolaire de deux peintres d’origine neuchâteloise – l’un promis aux lauriers de l’Europe romantique, l’autre conseiller et passeur de mécènes helvétiques –, ce volume réunit plus de cent lettres que se sont adressées Léopold Robert et Maximilien de Meuron, ainsi que certains de leurs proches, entre 1817 et 1835. Transcrite pour la première fois à l’attention d’un lectorat contemporain, accompagnée de notes et d’un essai critiques, cette correspondance révèle les ressorts de l’émulation esthétique, du marché de l’art international et de la renommée artistique qui s’écrit alors de la main et du vivant de l’artiste.